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La description de la maison vauquer chez balzac dans le père goriot

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UniversitÐ de vinh
DÐpartement des langues ÐtrangÌres

MÐmoire de fin d’Ðtudes universitaires

Description de la maison vauquer chez balzac
dans
le pÌre goriot

DirigÐ par: Mme Lê Thi Thu Hà
Redigé et presenté: Tạ Thị Nga
Classe: 41A4-franỗais

- vinh, mai 2004 Table des matiÌres
Page
Patie I: Introducton
I . Motiation du choix sujet de la reherche

7

II. But de la recherche

8

III. Histoire de la recherche
IV. Démarches la de recherche

9
12



V. Cadre de la recherche

12

Partie II: DÐveloppement
A.Fondement du sujet de la recherche.
14I. Bref
résumé du roman Le père Goriot
II. La maison de Vauquer dans Le Père Goriot

16

B. La description de la maison Vauquer
I. La description de l’extérieur de la maison Vauquer

17
17

1. La description de la rue Neuve-Sainte-Genevière où
se trouve la maison Vauquer

17

2. La description du panorama de la naison Vauquer

18

3. La description de la faỗade de la maison Vauquer

19


4. La description du jardinet de la maison Vauquer

20

5. La description de la porte de la maison Vauquer

21

6. La description de la maison Vauquer à travers
la porte à claire-voie
II. La description de l’intérieur de la maison Vauquer
1. La description du salon

22
23
24

a. La desciption du panorama du salon
b. La description de la table.

25

c. La description de la cheminée dans le salon

26

d. La description de l’odeur du salon

26


2. La description de la salle à manger

27

III. La description de la propriétaire de la maison

30

1. La description harmonieuse de l’individu et du milieu
30
2. Madame Vauquer-une personne repoussante

31


3. L’ironie

31

4. Madame Vauquer, un symbole vivant de la pension

32

5. La méthode interprétative du roman en décrivant la
propriétaire Madame Vauquer

32

IV. La description des pensionnaires


33

1. La description du père Goriot

34

2. La description de l’étudiant en droit, Eugène de Ractignac 36
3. La description de Vautrin

37

4. La description de la vieille Micheneau

38

5. La description de monsieur Poiret

39

6. La description de mademoiselle Victorine Taillefer

40

IV. Confrontation de la description des objets à celle des
personnages

41

1. Ressemblances


41

a. Décrire ceci pour présenter cela

41

b. Utilisation des éléments du temps dans la description,
la description chronologique.

42

c.Utilisation du contraste dans la description
d. Utilisation des figures de rhétoriques.

44

2. Différences

45

a. Balzac décrit des objets en manifestant des émotions
et la description des personnages utilise la méthode interprétative
b. Les objets sont décrits plus détaillement que les
personnages

46

IV. Remarques sur la description chez Balzac à travers la description de la maison
Vauquer

1. La longue description au début du roman
2. La description mimutieuse, détaillée

47
47


3

La métaphore, la comparaison, le contraste dans la description.
48

3. La description fidèlle au réel

48

4. La description harmonieuse de l’individu et du milieu
48
PartieIII: Conclusion
I Résumé de la description de la maison Vauquer
dans le roman Le Père Goriot

50

II. Valeur tirée de la recherche

52

III.


Application pédagogique

53

IV.

Ouverture de la recherche.

54


Remerciements
Pour la première fois, je dois m’occuper d’un grand travail et difficile, je ne
pourrais pas accomplir ce mémoire sans les encouragements, les renseignements de
ma directrice de recherches Mme Lê Thị Thu Hà, professeur de fransỗais du
Dộpartement des Langues étrangốres de l’ Université de Vinh, à qui, pour les
premiers mots, j’aimerais destiner mes profondes gratitudes et mes grands
remerciements. Avec sa chaleur, son érudition et son expérience, ce mémoire s’est
bien achevé. Je voudrais remercier aussi tous les professeurs du Département des
Langues Ðtrangères en gộnộral, les professeurs de franỗais en particulier, ainsi que
les amis de classe, de m’ avoir encouragé à ce travail important.


Partie I:
Introduction
I.Motivation du choix du sujet de la recherche.

Nommé “Napoléon des lettres”, historien des moeurs, du présent, Honoré
De Balzac ( 1799-1850) est un des écrivains les plus connus au XIX ố siốcle. Grõce
son oeuvre, on comprend mieux lhistoire franỗaise dans une période troublée,

comme Balzac a dit en le comparant lui-même à Napoléon “Ce qu’il a entrepris par
l’épée, je l’accomplirai par la plume”. Ses romans étaient la copie exacte de
situations vécues. Ils manifestent les attitudes caractéristiques de l’écrivain devant
l’histoire de son temps. Il a recelé toute la société dans son esprit parce qu’il a eu
l’intention d’établir “les mille et une nuits de l’Occident”, Il a voulu non seulement
un livre, mais encore un monde. Il est analiste de son temps, un peintre de la
société. Pour payer ses dettes, il a dû travailler sans relâche, parfois quinze heures
par jour. Il a quitté sa vie et a abandonné son oeuvre littéraire après quelques mois
de son mariage. Et pourtant, Balzac consacre sa vie à une création littéraire qui fut,
sa mesure, exceptionnellement puissante et féconde. Il n’est pas un enfant prodige
comme V.Hugo, Afred Musset, mais avec tout son coeur, il a connu beaucoup de
succès.
La Comédie humaine reste strictemnt au nom de Honoré de Balzac. C’est un
grand ouvrage où il se considère comme architecte talentueux. (quelque 90 romans
avec environ 2000 personnages). En particulier, en lisant La Comédie humaine, le
lecteur peut découvrir le panorama de la France au XIXè siècle. Par la description
de la maison Vauquer, dans Le Pốre Goriot, la sociộtộ franỗaise se manifeste trốs
clairement. Cette grande oeuvre est un tableau fidốle de la sociộtộ franỗaise de la
première moitié du XIXè siècle. On y trouve Paris et la province, l’aristocratie et la
bourgeoisie. Balzac découvre ce qui se cache au plus intime de la société, dans les
familles, dans les consiences.


A travers Le Père Goriot, surtout la description de la maison Vauqer, nous
voyons une société agonisante où l’homme est loup pour l’homme, l’argent tient le
pouvoir, l’argent est un mauvais mtre. On parle beaucoup de la nouvelle
aristocratie de l’argent, d’une réalité tangible.
De plus, ce roman de Balzac nous suscite des aspirations esthétiques et nous
apporte des significations.
Pour but d’éclairir cette visée de Balzac, nous choisissons d’étudier la

maison Vauqer dans le roman Le Père Goriot.
Beaucoup de chercheurs ont, sans doute, étudié ce roman mais la plupart en
découvrant le contenu. Il y a quelques uns abordant le style de l’auteur, mais pas
grand soin. Nous espérons montrer la description talentueuse de Balzac et nous
souhaitons aboutir à la valeur d’application pédagogique après la recheche sur la
description de la maison Vauquer.
II. But De La Recherche.

D’après le point de vue aberrant, la littérature appartient singulièrement à la
vie spirituelle. Elle concourt à la formation de la personnalité. La recherche de la
littérature est ausi nécessaire que les autres sciences. Ce sont les sciences humaines
-la moitié indispensable de notre vie. De plus, ce fait nous donne l’intérêt de nos
études à présent et de notre carrière dans l’avenir.
Avec la manière sensible, les recherches de la description de la maison
Vauquer chez Balzac nous aideraient à consolider, à perfectionner, à enrichir et à
élargir nos connaissances linguistiques, culturelles du franỗais.
Nous souhaitons aussi que nos recherches aient une grande valeur
pédagogique dans l’enseignement de la compréhension écrite et de l’expression
écrite, du champ de vocabulaire dans le cadre de la description d’une maison.
Ailleurs, nous voudrions évoquer chez les élèves la passion pour la
littérature, les inciter à aimer, à mieux connaợtre la culture et la littộrature
franỗaises, utiliser les mots bonne place et, bien ộcrire en franỗais.


En plus, ces recherches prennent pour but de rendre nos cours de franỗais
plus animộs, plus sộduisants.
III. Histoire du sujet de la recherche.

Le Père Goriot a été écrit il y a près de deux siècles, c’est sûr que plusieurs
chercheurs s’intéressent à ce roman. Pourtant, nous nous heurtons encore aux

difficultés à remplir l’histoire de question à cause de la condition de contacte des
documents. Nous essayons de les chercher au Centre de Documentation du
Département, à la Bibliothèque de l’Université, au Centre de la Francophonie Côte
d’Armort- Nge An. Nous fouillons aussi les librairies, consultons sur l’internet,
mais en vain. Les documents sur Le Père Goriot n’en sont donc que quelques-uns.
Les livres que nous approchons sont suivants.
1.Documents en franỗais.
a.Catherine Cazaban, Hộlốne Sabbah, Catherine veil Littộrature 1ốre, textes et
méthode”. Hatier, 1996
b.Evélyne Amon, Yes Bomani “Grandes oeuvres de la littộrature franỗaise. La
Rousse, 1997
c. Gộrard Gengembre Rộalisme et Naturisme. Mộmo Seuil, 1997.
d. Honorộ de Balzac. Văn Học-Kailash, Le Pốre Goriot. Van Hoc-Kailash
Editions, 1996
e. Jean-Claude Berton “Profil Histoire Littéraire”. Hatier, 1996
f. Marie, Caroline – Carlier et les autres “Itinéraire littéraire XIXè siècle”, tome 1,
Hatier, 1995.
g. Pascal Bebailly “Profil Textes Expliqués ”.Hatier, 1997.
Dans presque tous les documents ci-dessus, on situe Balzac dans le courant
réaliste. Balzac est principalement découvert sous la vue globale: sa vie, son oeuvre
créative, sa biologie influencées par le contexte social et par la politique de son
temps. On aborde beaucoup La Comédie humaine dont La Peau de Chagrin, Lys
dans la Vallée, Eugénie Grandet …Les chercheurs s’intéressent aussi au style


balzacien, mais c’est “le retour des personnages”. On parle peu de la description de
la maison Vauquer. Pourtant, “La description de la maison Vauquer au début du
roman Le Père Goriot est une des plus célèbres de La Comédie humaine, le
“spectacle désolant” de la pension est à l’image de sa propriétaire Mme Vauquer,
elle soi-même est en harmonie avec la médiocrité du lieu”.

(Itinéraire littéraire – page 183)
- des descriptions réalistes
- Le sens du détail
- Le goût des accumulations
- Le sens de l’immonde
(Grandes oeuvres de la littộrature franỗaise page 246)
Dans Le pốre Goriot, Balzac met en scène un bourgeois enrichi par la
révolution et, ruiné par les caprices et les goûts de luxe de ses filles, entrées dans
l’aristocratie grâce à de beaux mariages. Le roman raconte la vie misérable du
vieillard, dans une pension solide”.
(Littérature 1er, textes et mộthodes page 308)
2. Documents en vietnamien.
a. Đặng Anh Đào, Hoàng Nhân Văn học phơng tây, Nhà xuất bản giáo dục,, Nhà xuất bản giáo dục,
1999
b. Lê Huy Bắc, Lê Nguyên Cẩn, Đặng Anh Đào LÃo Goriot, Nhà xuất bản giáo dục,, Nhà xuât bản
Đại Học Quốc Gia Hà Nội, 2001
c. Lê Huy LÃo Goriot, Nhà xuất bản giáo dục,. nhà xuất bản văn học,1967
d. Trịnh Thu Hồng, Đỗ Phơng Mai: Văn học pháp, Nhà xuất bản giáo dục,, Nhà xuất bản giáo dục ,
Hànội 1998.
Les critiques se concentrent leur attention sur la vie et l’oeuvre de Balzac. Ils
parlent bien de La Comédie humaine, dans les manuels comme van hoc phuong
tay, on met l’accent sur le réaliste balzacien.


ý đồ của Balzac là viết nên bộ một nghìn lẻ mmột đêm của phơng tây, Nhà xuất bản giáo dục,,
ông muốn ganh đua với hộ tịch, muốn rằng không chỉ viết nên một cuốn sánh mà
cả một thế giới, Nhà xuất bản giáo dục,.
(Văn học phơng tây..., page 536)
Tác phẩm lÃo Goriot là một trong nhiều ngà ba đờng lớn, ồn ào mà trống vắng
trong hoang mạc Tấn trò đời, Nhà xuất bản giáo dục,, tác phẩm là một bản án đanh thép, tố cáo xà hội

đồng tiền, Nhà xuất bản giáo dục,.
(LÃo Goriot, nhà xuất bản đại học quèc gia. page 98)
On analyse bien la paternité du père Goriot.
Còn Goriot thì yêu con tới mức, trong tình cha - con, yếu tố cha bị thủ tiêu đi,
không còn nữa, ông còn viết: thật là rõ, không có một sắc thái nào của mói tình ấy từ
cái cao thợng đến cái ghê tởm, không đợc nắm lấy và ghi lại và lÃo Goriot là một
cuốn tiểu thuyết về tình cha - con, xuất phát từ bản năng của con ngời. Nó xuất phát
dới hình thể một mối tình si trong trạng thái một tật xấu, Nhà xuất bản giáo dục,
(LÃo Goriot-nhà xuất bản văn hoá page 9)
Les critiques parlent aussi du style balzacien mais pas grand soin. La
description est peu ộvoquộe.
Sự miêu tả của Balzac nhằm cho thấy những mối quan hệ bí mật giữa con ngời
với môi trờng, việc miêu tả hoàn cảnh xung quanh thờng nhằm đoán ra một tính
cách của cá nhân đợc miêu tả sau đó, Nhà xuất bản giáo dục,.
(Văn học pháp. page 94)
En effet, les commentateurs ci-dessus ont des remaques globales sur le
contenu, du roman Le Père Goriot, sur le talent descritif de Balzac. Cependant, la
description de la maison Vauquer n’est presque pas dite. Alors, je profite de cette
lacune pour découvrir des trucs concrets et la particularité de la description d’une
maison singuliÌre chez Balzac.
IV.mÐthode de recherches

Pour exécuter la question posée, on a les opérations suivantes.
1. Repérage: Cette opération demande de repérer les données nécessaires sur la
description, les choses concerant la maison Vauquer dans Le Père Goriot
destinées à la question intéressée, de les ramaser, de les classer, et de les
qualifier.


2. Analyse: Après avoir ramassé les données utiles, on continue à les analyser, à

les déchiffrer, puis à qualifier les analyses, afin d’amener à la conclusion sur la
description de la maison Vauquer.
3. Confrontation: Dans le cadre d’un mémoire de fin d’études universitaires,
nous n’avons pas la chance de faire de grandes confrontations, une confrontation à
d’autres romans de La Comédie humaine, une confrontation à d’ auteurs de même
époque, une confrontation à celle des autres objets dans Le Père Goriot… Nous
choisissons donc de confronter la description des choses, des personnages relatives
µ la maison Vauquer afin de tirer des ressemblances et des différences pour le but
de souligner le style de description chez Balzac µ travers une description concrÌte
(maison Vauquer).
V.

Cadre de recherches

La description est une forme de rhétorique très connue dans la littérature.
Elle est indispensable dans n’importe quelle oeuvre, mais on ne s’y intéresse pas
bien. Dans le cadre d’un mémoire de fin d’études et, plus faute de temps, de
compétence et de documents, nous n’envirageons que la description en exécutant
les objets décrits de la maison Vauquer, les pensionnaires et la patronne décrits, les
manières stylistiques chez Balzac dans Le Père Goriot de La Comédie humaine
aux points essentiels.
- Découvrir la description de la maison Vauquer, la propriétaire et les
pensionnaires en direction: repérer les objets et les personnes décrits ainsi que des
figures de rhétoriques utilisées.
- Confronter la description des objets de la maison Vauquer à celle de sa
patronne et des pensionnaires
- Donner des remarques sur la description chez Balzac après avoir vu la
description de la maison Vauquer.



Partie: II
DÐveloppement
A.fondement du sujet de recherches
Nous savons que les figures de rhétoriques dans la littérature jouent le rôle
très important pour comprendre un phénomène littéraire. Il existe plusieurs fugures
de rhétoriques dont la description est une des plus usuelles, populaires. Comment
la description attaque-t-elle le roman Le Père Goriot. Tout d’abord, il faut avoir
une dộfinition relative à la description.
Dans le manuel Le Franỗais au Collège, on dit que “une description peut
trasmettre une information ou un savoir”. Elle est alors précise , détaillée et, fournit
les éléments nécessaires à la compréhention.
Dans Le Petit Larousse Illustré-1992, on définit la description: “description:
action de décrire, développement qui décrit: décrire; représenter, dépeindre par
l’écrit ou par la parole”
Pour Claude Eterstein, Adeline Le sot; “la description consiste à représenter
ce qui se situe dans l’espace. Une description indique au lecteur des propriétés, les
caractères d’une scène, d’un objet, d’un lieu, d’un personsnage. Dans ce dernier
cas, la description est appelée portrait. Liée à l’espace, la description comporte de
nombreux événements d’ordre visuel: volumes formes, couleurs, aspect physique,
vêtements ... . Elle met en jeu des perceptions, des sensations (). La description
prộsente les ộvộnements quon perỗoit dans l’espace. Elle s’organise par plans
successifs selon des choix variés. Elle se fond parfois dans la narration. Une
description est rarement un simple motif décoratif. Elle a aussi pour le rôle de
situer, faire comprendre, transmettre une pensée.
Nous essayons de profiter de ces définitions pour découvrir la description
de la maison Vauquer “une description d’un objet ce qui se situe dans l’espace”.
I. Bref rÐsumÐ du roman Le PÌre Goriot


Le père Goriot a deux filles. Sa femme est morte. Il s’est ruiné pour ses deux

filles hypocrites, ingrates et ambitieuses. A cause de sa ruine, il s’oblige d’habiter
dans la maison Vauquer, une pension d’une veuve pingre, grosse. Au début, il
louait la chambre la plus luxieuse et élégante au premier étage. Il était alors à
l’attention de tous les pensionnaires, même de la patronne. Madame Vauquer a
rêvé jour et nuit de lui et de sa richesse. Mais le père Goriot ne s’interessait à
personne dans cette pension et vit seul dans le silence. A la fin de la deuxième
année, le père Goriot a dû déménager au deuxième étage dont le loyer est meilleur
marché. Ses deux belles filles viennent rarement le voir et, les pensionnaires le
trouvent très bizarre. Et vers la fin de la 3 è année, il a dû déménager dans une
chambre du 3è étage, la meilleure marchée. La faillite l’oblige donc de quitter la
faỗon de vie luxieuse prộcộdente.
Un soir, Eugốne de Ractignac, étudiant pauvre, en droit, rentrait tard du bal
de Madame De Beauséant. Il a vu que le père Goriot déroulait son câble, prennait
la masse d’argent, la suivait sur la table et l’y roula pour l’arrondir en barre. Le
jour suivant, Vautrin, aventurier, ancien bagnard, a dit qu’il a vendu le lingot
d’argent à un usurier. Il avait besoin, toujours, d’argent pour ses deux filles. En
revache, de plus en plus, elles devenaient différentes à son père lors du “citron bien
pressé”. Malheureusement, elles ont honte de le considérer comme leur père.
Avec l’aide de Madame De Beauséant, Eugène de Ractignac est devenu
l’amant de Delphine, une de ses filles du père Goriot, femme du baron Nucingen.
Et Vautrin encourage Ractignac à épouser Victorine et, c’est lui qui s’engage à
faire tuer le frère de celle-ci. Rastignac a refusé les comptes financiers de ses deux
filles et la jalousie entre eux font la cause de maladie du père Goriot. Sans pitié,
sans consience, les deux filles laissaient leur père dans l’état grave tandis qu’elles
s’amusaient chez Madame De Beauséant. En fin, le père Goriot est mort dans la
solitude, comme “un chien”. C’est Ractignac et son ami qui s’occupaient des


funérailles. La fin de l’histoire s’arrête au défi à Paris de Ractignac “à nous deux
maintenant”.

II. La maison Vauquer dans lE PÌ Re Goriot

La maison Vauquer est le lieu ó se déroule cette histoire, le cadre de vie,
une présentation matérielle. C’est le fond d’un dessin où on trouve un dessinateur
de grand talent, Honoré de Balzac. On ne s’y intéresse pas beaucoup tandis que ce
cadre est en revache très important. Si l’on observe à fond, on peut comprendre
bien cette histoire. Surtout, les éléments de l’histoire correspondent bien aux
parties de la maison. Les objets de la maison et les personnes ont les relations
réciproques. Cette maison a contenu toute “la comédie humaine” de Balzac. Elle
est considộrộe comme la sociộtộ franỗaise vue en miniature au XIX è siècle. On y
rencontre des étudiants pauvres, des retraités, des oisifs, des bagnards…avec les
relations de toutes les classes sociales. La maison Vauquer n’est pas simplement un
logement, elle est plutôt un “témoin” d’une vie extrêmement bouleversée dans
cette maison, d’une société. Elle a ausi les taches du temps, de l’histoire. Dans un
terrain-là, elle s’exprime une “maladie comtemporaine” et le soif de d’argent.
C’est l’argent qui tient le pouvoir. On ne sait pas où avait habité le père Goriot
avant d’entrer dans la maison Vauquer. Balzac a débuté l’histoire par la description
bien détaillée, très longue de la maison Vauquer où loge le père Goriot. En fin, il
est mort dans la misère et dans la solitude. Après la mort du père Goriot, la maison
Vauquer est encore existante. La pauvre société, “la comédie humaine” n’est pas
finie.
B. La description de la maison Vauquer.
I. La description de l’exÐtrieur de la maison Vauquer

1. La description de la rue Neuve-Sainte-Genevière où se trouve la maison
Vauquer.


Cette rue se situe entre le quatier Latin et le Faubourg Sainte-Marceau. Elle est le
terrain, l’environnement où se dresse la maison Vauquer. Ce terrain est couvert de

beaucoup de “maladies”. Elle est peut-être l’image de Paris dans un déclin. La rue,
la firure de type d’une maison si bizarre. Elle constribue à perfectionner le dessin
de cette pension.
“Là, les pavés sont secs, les ruiseaux n'ont ni boue, ni eau, l'herbre crt le
long des murs(...) le bruit d'une voiture y devient un événement, les maisons y sont
normes, les murailles y sentent la prison". (page 8)
C'est le caractéristique ou l’ambiance de la pension. Balzac a utilisé les
adjectifs: “secs”, “normes”, la négation successive “ne...ni...ni” pour mettre en
relief la vie monotone, triste, asphyxiée. C'est le sens abstrait, la “prison” veut dire
quelque chose trÌs Ðtouffante . “Les murailes y sentent la prison”. Le mot “prison”
donne le sens de métaphore et, cette métaphore met en relief l’atmosphère
désagréable, torturante de la maison Vauquer. Maison Vauquer ou pension
Vauquer n’est pas vraiment une maison pour vivre. En revanche, elle est une
prison pour renfermer les pauvres hommes. Avec cette description de la rue, on
imagine un lieu en ruine. En effet, “L'homme le plus insouciant s'y attriste comme
tous les passants." Il n ' y a pas de signes de la vie. C'est l'endroit où règne la
misère, l'ennui, “la vieillesse qui meut”, “la joyeuse jeunesse contrainte à
travailler”. Le narrateur a l'impression que la rue Neuve-Sainte-Genevière est
surtout

comme “un cadre de bronze”. Cette comparaison

met en valeur la

description plus frappante. L'auteur ajoute: le cadre de bronze est “le seul qui
convienne à ce récit auquel on ne saurait trop préparer l'intelligence par des
couleurs brunes, par des idées graves." (page 9).
Alors, la description de la rue Neuve-Sainte-Genevière suggère beaucoup de
choses. Elle nous donne la curiorité de découvrir. C'est le commencement très
spécifique: un espace asphyxié, une odeur insupportable désignent une vie pleine

de contraintes, de choses désordonnées, de noires...Le caractéristique de prison de


la maison Vauquer est encore une fois soulignée grâce à la description de cette rue
Neuve -Sainte- Genevière .
Suite la description de la rue Neuve-Sainte- Genevière, le narrateur fait bien
attention au panorama de la maison.
2. La description du panorama de la maison Vauquer.
Le panorama de la maison Vauquer est le sommaire de toute la maison. On
peut dire que le panorama est le repère, une orientation pour découvrir les autres
horizons et pour entrer dans la maison sans être brouillé. Alors le panorama de la
maison garde une certaine idée de Balzac dans la description.
“Une chaleur capable de faire étages et surmontée de mansardes, est bâtie en
moellons et bardigeonnée avec cette couleur jaune qui donne un caractère ignoble
à presque tous les maisons de Paris. Les cinq croisées percées à chaque étage ont
de petits careaux (…). La profondeur de cette maison comporte deux croisées, ont
pour ornement des barres en fer, grillagés”. (page 11)
L’architecture de cette maison est très bizarre “surmontée de
mansardes”, surtout “badigeonnée avec la couleur jaune”. Selon le narrateur, cette
couleur donne un caractère ignoble. Nous savons que la couleur jaune est depuis
longtemps les indices du malheur, de la mort. Ce n’est pas les cinq fenêtres, mais
les “cinq croisées percées”. Avec son ironie, on peut trouver que ces fenêtres sont
trop petites. Cette maison devient encore inacceptable avec “de petits careaux”. La
description balzacienne est excellente. Elle n’est pas une figure de rhétorique
supplémentaire. Elle est importante pour réaliser les visées de l’auteur. La pension
ou la prison quand elle a des croisées de barreaux en fer et grillagées? C’est en
effet un enfer.
A côté des choses caractéristiquement de prisonniaires plus, “une cour large
d’environ vingt pieds où vivent en bonne intellgence des cochons, des poules, des
lapins”. Ce n’est pas une cour d’une maison, c’est un abri d’animaux domestiques.

Quelle sale maison Vauquer!


L’intention de décrire une cour sale, pleine d’animaux, l’auteur souligne des
images terribles de la maison Vauquer et, il compare sous-entendu la maison à un
abri d’élévage dont les animaux sont des pensionnaires. Cette cour justifie une fois
de plus le désordre, le caractéristique disparate de cette pension dans laquelle
vivent des gens de toutes les classes sociales. La maison Vauquer est vraiment
l’image en miniature de la société francaise de l’époque de Balzac.
Avant d’entrer dans la maison Vauquer, le narrateur s’arrête et voit “entre ce
hangar et la fenêtre de la cuisine se suspend le garde-manger, au dessous duquel
tombe les eaux grasses de l’évier (…) une porte étroite par où la cuisinière chasse
les ordures de la maison”. ( page 11).
C’est une pension très sale même si l’on n’entre pas encore dans l’interieur,
un abri pour les animaux, pas un lieu à habiter. Cette saleté de cette pension est
vraiment le caractéristique d’une société de l’argent. Avec sa plume, Balzac a
donné au lecteur une sensation terrible du réel.
Suite la description du panorama de la maison Vauquer, le narrateur fait bien
attention au jardinet particulier de la maison Vauquer.
3. La description du jardinet.
Le jardinet est non seulement un terrain où on plante des arbres mais il est
encore la figure de la maison. Le jardinet singulier de la maison Vauquer nous
laisse des questions.
Le jardinet, aussi large que la faỗade est longue, se trouve en caissé par le
mur de la rue et par le mur mitoyen de la maison voisine, la longueur de laquelle
prend un manteau de lierre qui la cache entièrement (…). Chacun de ces murs est
tapissé d’espaliers et de vignes et les fructifications grêles et poudreuses (…) le
long de chaque muraille règne une étroite allée qui mène à un couvert de tilleuls
(…). Entre les deux allées latérales est un carré d’artichauts flanqué d’abres



fruitiers en quenouille et bordé d’orseille, de laitue ou de persil sous le couvert de
tilleuls est plantée une table ronde peinte en vert et entouré de sièges”. ( page 10)
Le jardinet a l’air large, spécieux lors un coup d’oeil avec les adjectifs
“large”, “longue”.
Tout est encadré. La description du jardinet et des alentours exprime
l’ambiance étouffante: “se trouve en caissé”, “prendre un manteau”, “cacher”,
“tapisser”, “une étroite allée”, “border”, “entourer” sont les mots renforỗants
latmosphốre terrible. Alors, la description balzacienne nest pas simplement une
figure de rhétorique, elle nous montre aussi que Balzac est un vrai “Napoléon des
lettres”. Grâce aux expressions utilisées, on peut imaginer nettement ce jardinet. Le
narrateur ne concentre pas son attention sur la description du jardinet. Il décrit
soigneusement la structure de la maison, sa position. Elle se place toujours dans un
espace de prison comme la rue.
La rue Neuve-Sainte-Genevière, le jardinet sont l’espace couvrant la maison.
Aprốs ỗa, ce sont des choses liộes ộtroitement la maison.
4. La desciption de la faỗade de la maison Vauquer.
La faỗade de la maison Vauquer est la couverture de cette pension. Si nous
comparons cette maison à un homme, nous trouverons que la faỗade ressemble
aussi aux vờtements. Elle a quelque chose anormale. Elle est comme le visage d’un
corps vivant. Quand on la voit, on peut comprendre ses caractéristiques. La
description de la faỗade de la maison Vauquer donne en effet beaucoup de choses
rộfộchir.
La faỗade de la maison Vauquer donne sur un jardinet en sorte que la
maison tombe à un angle droit sur la rue Neuve-Sainte-Genevère, où vous la
voyez couper dans sa profondeur. La longeur de cette faỗade entre la maison et le
jardinet, règne un cailloutis en cuvette, large d’une toise, devant lequel est une
allée sablée, bordée de géraniums, de lauriers-roses et de grenardiers plantés dans
de grands vases en faience bleue et blanche”. ( page 9)



La description chez Balzac est très minutieuse, bien détaillée et énumérative.
Il veut nous donner l’alerte avant d’entrer dans la maison. L’espace démeure
déserte, solitaire. La maison se situe dans un angle d’une rue sombre. Nous
pouvons reconntre quelque chose inhabituelle dans cette description. Ainsi, il y a
un cailloutis en cuvette qui règne entre la maison et le jardinet. En particulier, il y a
une allée sablée. Une allée couverte de sable est une allée sale et poudreuse. L’
allée sablée accumule l’atmosphère étouffante de la maison . L’atmosphère si
étroite, si contrainte que des géraniums, des lauriers-roses et des grenardiers ne
peuvent pas vivre et développer dans des vases. La sensation asphyxiée est
formée dès que l’on voit cette faỗade.
Aprốs la description de la faỗde de la maison Vauquer, l’auteur découvre
chaque partie de la maison.
5. La description de la porte de la maison Vauquer
“Une porte bâtarde, surmontée d’un écriteau sur lequel est écrit: MaisonVauquer et dessous pension: bourgeoise de deux sexes et autres”. ( page 9)
Ces mots imprimés sur la porte affrapent des réactions trop. Balzac a décrit
la porte de la maison Vauquer avec un ton ironique. L’auteur appelle les lettres sur
la porte “un écriteau” pour exprimer un mépris. En effet, Balzac a dressé, grâce à
sa plume, la sociộtộ franỗaise de son ộpoque. Il existe encore des choses
contradictoires. Dans cet écriteau, on trouve une opposition très claire: au dessus,
on écrit “la maison”, mais dessous, “la pension”. C’est quelque chose
d’extraordinaire du style chez Balzac, le style d’opposition d’ ironiser dans le but
de critiquer efficacement la réalité. L’auteur a l’intention de mettre “MaisonVauquer” au-dessus des mots “deux sexes et autres”. Ce contraire aboutit à
une ironie talentueuse: maison Vauquer est quelque chose de noble, tandis que
“sexes” est quelque chose de banale, de terrible. Il nous semble que Balzac veut se
moquer de la propriétaire, une patronne mal cultivée. Toute sa bêtise se manifeste
sur cette porte. Cela évoque aussi une réalité tangible dans la sociộtộ franỗaise au


XIXè siècle. La plupart des gens souverains sont imbéciles, illestrés et mộchants.

Cest une illộgalitộ, les douleurs dans la sociộtộ franỗaise. Et alors les drames se
jouent sucessivement. Nous commenỗons avoir la sensation contrainte en
observant chaque partie dans cette maison Vauquer. Après la description de la
porte, le narrateur arrête ses yeux sur la porte à claire-voie, une sorte de porte très
particulière.
6. La description de la maison à travers une porte à claire-voie
De la description globale à celle concrète, la maison Vauquer appart de
plus en plus nettement et minutieusement. Nous avons l’impression qu’elle est si
existante qu’on peut la toucher. La porte à claire-voie est bien décrite. Elle se
considère comme une clée pour ouvrir la porte et pour voir l’intérieur d’une
maison

mystérieuse, dans laquelle se cachent des choses noires. Cette porte

bizarre amorce l’impatience du lecteur à découvrir les objets après elle. Le nom “la
porte à claire-voie” suggère quelque chose d’obcure, elle est si petite qu’ un seul
clair peut la pénétrer. Ce clair faible ne fait qu’accentuer l’obscurité de la maison
Vauquer. Cette porte est totallement opposée à celle

d’une maison normale,

particulièrement d’une pension. La porte, c’est le lieu oự on va et vient et, qui
reỗoit la lumière. Elle est alors très importante, elle doit être grande, large pour
achever son rôle. Cette porte contrainte renforce l’environnement étroit,
désagréable, étouffant de la maison Vauquer.
“Une porte à claire-voie, armée d’une sonnette criarde, laisse apercevoir au
bout du petit pavé, sur le mur opposé à la rue une arcade peinte en marbre vert
(…). Sous le renforcement que simule cette peinture, s’élève une statue
représentant l’amour (…). sous le socle, cette inscription à demi-effacée” rappelle
le temps. ( page 10)

De plus en plus, grâce à cette description, on peut sentir l’atmosphère
contrainte : “à une porte à claire-voie”, “une sonnette”,

“petit pavé”, “une

arcarde”. Tout est petit. Dehors de la maison, on peut avoir déjà l’impression que



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